voici une manip avec le proto in situ !

Un peu de mesure pour vérifier le comportement en fonctionnement.

Le proto côté face.

Le proto côté pile.

Après démontage et dérésinage avant usinage de l'aluminium en trop pour accueillir notre montage.

Pièce usinée avec ma petite perceuse à colonne, un étau à 15€ chez Auchan et une fraise.

Essai de mise en place du circuit imprimé. Tout semble OK.

Contrairement au dérésinage pour une réparation où il faut tout préserver, ici il faut garder simplement le connecteur et ce n'est pas chose facile. Le but sera de garder la partie des cosses fast-on (visible sur les photos du produit final).

Encore le proto !

Toujours le proto !

Et puis le circuit final. Comme vous pouvez le voir, j'ai bien chargé les pistes en étain là où il y a du courant. Le circuit est réalisé suivant la méthode exposée sur ce site avec un transfert de toner par une plastifieuse (CI express).

Voici le côté face du circuit final. J'ai coupé le connecteur du toron qui va sur le moteur et soudé les fils directement. Pour la mise en place des TO220, mettre en position dans l'alu pour souder correctement. Ne pas oublier de charger les pistes en étain là aussi.

Voici le circuit prêt à être résiné. J'ai réutilisé les agraphe pour tenir les TO220.

Et le voici résiné avec de la polyuréthane. Alors pas mal non ? On croirait presque un vrai et surtout pour moins chère.

Une autre vue.

Comme exposé en introduction, il ne faut pas oublier de couper le condensateur aux bornes des charbons. Cette capa m'a fait perdre beaucoup de temps pour trouver d'où venaient les oscillations de courant. J'ai laissé la capa en place et coupé simplement une patte.

Le tout est prêt à être assemblé pour le grand voyage.

Fenêtre de raccordement du moteur

Moteur en place et rebranché.

Assemblage fini

Attention, on va encore attraper un torticolis pour le remontage !